Sucker Punch de Zack Snyder
Zack Snyder a acquis une certaine notoriété depuis quelques années. La preuve en 2004 sortait le bien reçu L'armée des Morts, qui malgré son nom dérisoire fut surtout présenté au très "Paillettes" et faussement "Luxueux" festival de Cannes à la même époque. Le Remake de Dawn Of The Dead ( Zombies en version française ) du maître incontesté du genre George "Georgie" Romero fut surtout pour Zack Snyder l'occasion de faire un tour à la maison Hollywood. En 2007 sortait son film totalement jouissif à la violence éblouissante et surprenant 300. Péplum moderne, filmé entièrement en haute définition, Snyder a surtout surpris pour son utilisation non modérée des Ralentis, des travellings et surtout de cette touche visuelle unique. Respectant le code visuel alors du chef d'oeuvre de Frank Miller, Snyder s'attaque alors à Watchmen, le roman graphique le plus célèbre de tout les temps. Sa vision de la guerre froide, dans un futur alternatif ( ou passé, au choix ) reste dans la mémoire des cinéphiles; une brillante composition, subtile, époustouflante visuellement, et surtout respectueuse de l'oeuvre d'Alan Moore.
Puis en 2010, Snyder se voit offrir la réalisation d'un dessin animé d'une chouette héroine La Légende des Gardiens. ( Je parle de l'animal, ne pas y voir un jeu de mot totalement foireux, quoi que... ). Passé alors inaperçu au vue de la plupart des critiques cinéphiles, Snyder repart sur du réel avec son nouveau projet, qu'il a sous le coude depuis très certainement un moment sous le coude, Sucker Punch. Traduction Littérale, Coup d'enfoiré. On comprend mieux pourquoi, nos divins diffuseurs ont préféré gardé le titre original, et on les remercies de tout notre coeur pour une fois. Né de la matière grise de Snyder, Sucker Punch raconte l'histoire de Baby Doll, jeune fille, 20 ans en poche dans les années qui après un carnage familiale et la mort de sa soeur et sa mère, cette jolie blonde se voit enfermé dans un asile du très pauvre par son beau père. ( Se sont toujours les méchants ). A partir de là, Snyder dévoile un thème qui se la coule douce ces derniers temps entre l'Agence et Inception, le réel, l'irréel, le rêve.
Puis en 2010, Snyder se voit offrir la réalisation d'un dessin animé d'une chouette héroine La Légende des Gardiens. ( Je parle de l'animal, ne pas y voir un jeu de mot totalement foireux, quoi que... ). Passé alors inaperçu au vue de la plupart des critiques cinéphiles, Snyder repart sur du réel avec son nouveau projet, qu'il a sous le coude depuis très certainement un moment sous le coude, Sucker Punch. Traduction Littérale, Coup d'enfoiré. On comprend mieux pourquoi, nos divins diffuseurs ont préféré gardé le titre original, et on les remercies de tout notre coeur pour une fois. Né de la matière grise de Snyder, Sucker Punch raconte l'histoire de Baby Doll, jeune fille, 20 ans en poche dans les années qui après un carnage familiale et la mort de sa soeur et sa mère, cette jolie blonde se voit enfermé dans un asile du très pauvre par son beau père. ( Se sont toujours les méchants ). A partir de là, Snyder dévoile un thème qui se la coule douce ces derniers temps entre l'Agence et Inception, le réel, l'irréel, le rêve.
Premièrement, il faut aller voir ce film avec une attention ferme. C'est pourquoi cette critique sera divisé en deux parties,
Objectivement, et Subjectivement. Car il ne faut en aucun cas s'attendre au chef d'oeuvre spirituel que peut être La Ligne Rouge de Mallick par exemple. Quitte à dévoloppé encore plus ma double personnalité. Objectivement, Sucker Punch ne peux tenir la route, Zack Snyder saccade son film sans cesse. Ses arrêts sur images n'en finissent plus. Et l'overdose du ralenti ( certes impressionnant ) est proche. Filmant sans cesse les mouvements bandants de ses 5 filles. Par là, le film n'est en aucun cas, et n'est décidément pas sexiste. Pour ceux qui croit le contraire, il suffit d'aller prendre une place pour la séance de 15 heures. L'histoire sur laquelle se base Snyder peut avoir été déjà vue quelques fois par le passé. S'imaginer un monde pour s'en sortir, c'est pourquoi Sucker Punch peut avoir un lourd parfum de déjà vu dans cette veine là. Mais Zack Snyder, d'une méthode postiché à Inception s'en sort au final plutôt bien coté transition Réel, Iréel, Rêve. Beaucoup mieux que dans The Lovely Bones de Peter Jackson, Où la relation entre deux mondes peuvent être vraiment fragiles.
Snyder utilise alors ce qu'il a de mieux, on ne peut alors renié le potentiel graphique que possède ce cinéaste encore tout jeune face à un film pareil. Son utilisation de la photographie reste somptueuse. Bien que parfois trop superficielle ( deuxième niveau ), c'est surtout dans la réalité que son potentiel se ressens, malgré que le film soit bancal sur certain point. Comme par exemple le fait de tenir un film pareil pendant une heure 50, les longueur se ressentent de temps à autre, même pendant les combats presque bandants. Et puis, son film ressemble au final à un immense clip vidéo, ne s'arrêtant décidement jamais. Au grand gré des "cahiers du cinéma".
Objectivement, et Subjectivement. Car il ne faut en aucun cas s'attendre au chef d'oeuvre spirituel que peut être La Ligne Rouge de Mallick par exemple. Quitte à dévoloppé encore plus ma double personnalité. Objectivement, Sucker Punch ne peux tenir la route, Zack Snyder saccade son film sans cesse. Ses arrêts sur images n'en finissent plus. Et l'overdose du ralenti ( certes impressionnant ) est proche. Filmant sans cesse les mouvements bandants de ses 5 filles. Par là, le film n'est en aucun cas, et n'est décidément pas sexiste. Pour ceux qui croit le contraire, il suffit d'aller prendre une place pour la séance de 15 heures. L'histoire sur laquelle se base Snyder peut avoir été déjà vue quelques fois par le passé. S'imaginer un monde pour s'en sortir, c'est pourquoi Sucker Punch peut avoir un lourd parfum de déjà vu dans cette veine là. Mais Zack Snyder, d'une méthode postiché à Inception s'en sort au final plutôt bien coté transition Réel, Iréel, Rêve. Beaucoup mieux que dans The Lovely Bones de Peter Jackson, Où la relation entre deux mondes peuvent être vraiment fragiles.
Snyder utilise alors ce qu'il a de mieux, on ne peut alors renié le potentiel graphique que possède ce cinéaste encore tout jeune face à un film pareil. Son utilisation de la photographie reste somptueuse. Bien que parfois trop superficielle ( deuxième niveau ), c'est surtout dans la réalité que son potentiel se ressens, malgré que le film soit bancal sur certain point. Comme par exemple le fait de tenir un film pareil pendant une heure 50, les longueur se ressentent de temps à autre, même pendant les combats presque bandants. Et puis, son film ressemble au final à un immense clip vidéo, ne s'arrêtant décidement jamais. Au grand gré des "cahiers du cinéma".
Et puis! Subjectivement, le film est un pari réussi pour le délirant clip ambigu qu'il est pendant 1H50. Car peut être que c'est cette "âme" geek qui l'emporte. On y retrouve alors tout les fantasmes d'un jeune adolescent période année 90 dans ce film. Des filles en bikini shootant à souhait, des nazis morts vivants, ou encore, des gobelins ou dragons. Mais là où Snyder fait fort, c'est dans sa réalisation. Car bien que non conventionnelle, c'est spectaculaire, vivant, surtout, remplis d'hommage à aux films l'ayant trommatisé d'une certaine façon. C'est ce second degré qui permet au film donc de tenir la route, agrémenté au passage d'anachronismes vraiment malins et amusants. ( Des Nazis Zombies se combattant dans des tranchées avec du matos futuriste ). Tout cela argumente le fait que Sucker Punch suit la piste d'un faux semblant de série B ( car Sucker Punch n'en est en aucun cas une ) qui permet au film d'être vue d'un autre oeil.
Snyder ayant acquis une notoriété peux se permettre de réaliser le film fantasmé. L'immense jeu vidéo qu'est Sucker Punch n'est pas au final le game over que l'on peux ainsi agréer au premier degré. On peux très facilement se faire bercé par cette histoire, si seulement on accepte de jouer le jeu. Accepter tout ces caractères vus 4382 fois au cinéma ( le mafieux à moustache, le maire pourri jusqu'à la moelle, la soeur jalouse ). Et c'est définitivement ici que tout se joue. A partir de ce moment là, on peux prendre autant son pied que simplement passer un bon moment. D'où les nombreuses critiques très certainement Pour Et Contre.
Snyder ayant acquis une notoriété peux se permettre de réaliser le film fantasmé. L'immense jeu vidéo qu'est Sucker Punch n'est pas au final le game over que l'on peux ainsi agréer au premier degré. On peux très facilement se faire bercé par cette histoire, si seulement on accepte de jouer le jeu. Accepter tout ces caractères vus 4382 fois au cinéma ( le mafieux à moustache, le maire pourri jusqu'à la moelle, la soeur jalouse ). Et c'est définitivement ici que tout se joue. A partir de ce moment là, on peux prendre autant son pied que simplement passer un bon moment. D'où les nombreuses critiques très certainement Pour Et Contre.
Quoi qu'il en soit, il est simple de s'y retrouver à un endroit. Les Bandes Originales de Snyder sont toujours soit teintées de classiques du genre ( Hallelujah de Cohen, Dylan, ou encore Cash ) et de métal. Ainsi on a le droit à des transcriptions de classique lardées de métal, hallucinées et hallucinantes. Oscar Isaac allant reprendre les Pixies, Eurytmics, ou l'incroyable White Rabbit des Jefferson Airplanes. Une composition géniale, et même parfois interprêté par l'actrice principale et sublime Emily Browning, jouant son rôle comme toute les autres, d'une teinte parfois premier, parfois très second degré. C'est pourquoi Sucker Punch est un film définitivement ambigu. Aussi bien pour son histoire parfois farfelue et bancale vers le dénouement, que ce jeu d'acteur. Jamais réellement on ne comprend où veux en venir Zack Snyder, c'est pourquoi l'avis diffère tellement. C'est avec Un soupçon septique que l'on ressort alors de ce cinéma. Snyder a réalisé le film qu'il a peut être rêvé un jour ou l'autre. Témoignant du potentiel imaginaire que possède ce cinéaste, mais même de là, on ne peux crier que l'oeuvre est réussite. La critique rend presque aussi fou que Babydoll est censé l'être. Sucker Punch, Coup de barre surtout.