King Crimson - In The Court Of King Crimson
Alors je me souviens avoir lu que pour cet album, il dépasserai le temps et l'espace, et sera universel. En effet, un album aussi dingue que sa pochette, tellement bizarre et incroyable pour d'autre. Moi perso, malgré " Moonchild Including The Dream And The Illusion " ( les noms sont plutôts long ), j'ai trouvé que cet album est un grand du psychadélique, rock progressif, plein d'acide et fouchtrement bien huilée aux accents de compositeurs hyper inspiré, et aussi du à sa pochette, géniale, horrible, et franchement pas innoncente. Ainsi In The Court Of King Crimson est nommé comme l'un des albums les plus importants des Sixties par beaucoup de Rockeur et de Presse. Mais il m'a fallu pourtant plusieurs écoutes pour apprécier cet album. Ainsi I Talk The Wind, aux flutes et aux batteur Giles toujours aussi inspiré, cette chanson nous fait penser à un trip se passant chez Blanches Neige ou les Nains sont remplacés par des Flutes et des pianos d'une beauté magique. Un Morceau tellement reposant, ou Greg Lake chante, et se laisse parfaitement emporté, autre exemple, Epitaph Including March For No Reason And Tomorrow And Tomorrow, encore un copié collé pour un nom plutot Important. Ici on passe à une pop très sixties, qui fait repenser un peu à la fin des Beatles si l'on veut, ou bien tout simplement à du rock progressif, ou les violons donnent une ambiance vachement angoissante, ou robert fripp est toujours aussi bon. Et puis The Court Of The Crimson King, chanson très connues, ou la sonorité nous transporte entre très bien entre I Talk The Wind et une ambiance de fin du monde ou les gens se rassemble pour prendre un dernier trip avec King Crimson! Splendide Morceau, Mais LE morceau de King Crimson, premier sur la liste de l'album est l'unique, le génial, l'incroyable, 21St Century Schizoid Man. Là, c'est du grand art, une chanson hyper diviersifié dans ces percus, avec l'une des meilleurs performances de batteries de l'histoire du rock. Un riff hors du commun, une voix hyper déchiré et décousue et remodelé, un peu comme si le grand mattou du Rock s'était fait opérer des cordes vocales par un manchot, et puis la descente de guitare de Fripp pour reprendre le fameux riff aprés un pont parti en couilles...Bref, morceau ouf, dingue, qui part en couilles et revient sur ce fameux " 21St Schizoid Man"; alors serte, un peu de mal au début, à la première écoute du disque mais si vous n'avez pas voyagez pendant ce disque, Bienvenue au 21ème siècle de la Schizophrénie.