Mes-50-cercles

Mischief, Mayhem, Soap.

Jeudi 17 mars 2011 à 17:06

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  Black Keys et L'Olympic / Tableau de Bord des planches 2010
 
 
          2010 Fut une année désastreuse pour le Football Français, et comme les 99,99% de la planète, on s'en fout. Et le monde se tiendra mieux. L'année dernière quelques concerts auront perturbé le cours normal de ma petite vie Nantaise. Avec tout d'abord la sortie de certains albums audacieux et totalement cultissime comme les feux de l'arcade ( Arcade Fire pour les non bilingues ) et leur Suburbs qui aura donc traumatisé a tout jamais nos sens aigus de la musique par un album incroyable, décomplexé, à des années lumières de la plupart des sorties du moment entre le dernier tube de Rihanna et son duo horrible avec l'excellent Eminem, ou encore, l'album totalement suicidaire de Christophe Maé ou des Plasticines où j'ai encore des bouts de ma bile au fond de ma bouche ( sa gratte ). Les concerts sont alors une petite chance de se rattraper.
 
 
JIM JONES REVUE
MAGNETIX
LUKE
PIXIES
ROCK A DOULON
TAGADA JONES
CHINESE MAN
DEEP PURPLE
DAN BARNUM
MICKY GREEN
PLASTICINES
BLACK KEYS


Un rapide aperçu des concerts disons "professionnels" auquel mes oreilles ont pu assisté. 
 
       
        Pourtant certains n'ont absolument rien de professionnels, mais nous y reviendront bien plus tard. A commencer par les Jim Jones Revue, le groupe du leader Jim Jones qui réinventent à leurs façons, le rock'n'roll moderne. Prenez une pincée de Little Richard, allié à l'électrisant dynamisme de Chuck Berry, et au meilleur du punk rock Anglais des années 70, et vous avez les Jim Jones Revue. Crade, dégueulasse, jouant comme dans les années 50 comme des brutes, les Jim Jones Revue restent au final un spectacle totalement surprenant. A commencer par leur formidable pianiste ( jouant debout faut pas déconner ) Elliot Mortimer ( sacré british ). Et oui car les Jim Jones Revue sont bien des British, et tout ce qu'il y a de plus vrai. Il faut dire que les acouphènes n'ont jamais été aussi douloureux, presque 120 décibels par moment, les Jim Jones avaient donc joué bien trop fort par la suite ce concert qui ne semblait jamais vouloir s'arrêter ( 3 Rappels ). Mais ils restent surtout l'un des concerts les plus mémorables côtés qualité/prix, seulement 13 petits euros la place pour un très bon concert, ponctué d'un sens inné pour le rock'n'roll. Ici, il n'y a plus de places pour les instruments surréalistes de Radiohead, on revient aux bases, au vrai rock'n'roll, and GOD! That Rocks. Et puis, un des rares groupes à boire une bière au stand tee shirt après le concert, histoire de discuter un peu de l'histoire du rock'n'roll. Et on compte sur Jim Jones pour se faire opérer des cordes vocales d'ici 3 ou 4 mois avec de la chance. 
 
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           Les Jim Jones avaient pour l'occasion choisi les Magnétix, petit couple de quadra originaire de la franche comté qui joue un rock impulsif, quelque part entre les fantastiques Kills, et le rock'n'roll d'Elvis Presley mordant dans une prise péritel. Les Magnetix restent certainement la meilleure première partie auquel j'ai pu assister. Tonitruant, rock'n'rollesque, totalement décomplexé, ce groupe mérite l'attention aussi par le fait qu'ils sont seulements deux, comme les Black Keys, ou les défunts Whites Stripes. Un son absolument énorme pour une prestation de folie. 
 
 
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           Par la suite s'est enchaîné de bon vieux papy, les Deep Purple, et malgré le fait que Ian Gillian n'a plus de voix, que Ian Gillian va se sniffer un rail de coke entre deux solos composés par Blackmore, les Deep Purple s'en tireront avec les honneurs grâce certainement à leur ancienneté divine. Le son du Zénith, on le connait, parfois mémorable, parfois à chier. Ici, on semble avoir trouvé le juste milieu, le son n'était pas grandiose, mais pour un groupe comme Deep Purple, les techniciens sons auront fait le minimum. ( Ponctué d'une horrible première partie entre les pires groupes chréitens de Heavy Rock des années 80 et la richesse suisse ). Deep Purple perd malheureusement en dynamisme, les écrous semblent se serrer et les articulations se bloquer. Loin d'un concert mémorable, Deep Purple reste quand même une légende du rock. En outre un splendide Highway Star à rendre fou les poils s'hérissant, on est loin des performances de Live In Japan, mais bon, se sont des papys, et ont leur souhaite une très bonne retraire amplement mérité.
 
 
 
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           Revenons à la petite salle hyper accrocheuse que reste l'olympic ( pour le peu de jours qu'il lui reste ) avec Luke, le talentueux groupe français hyper critiqué par la plupart de la presse française ( et pour des raisons dénué de sens ). Luke reste sans aucun doute le groupe de rock français le plus performant à la fois sur scène, et sur disc compact depuis l'arrivé de ce formidable guitariste. Luke nous réservant une bonne interprétation de la plupart de son disque, parfois mémorable ( La version live de "Dans L'ombre" reste fantastique ) ou encore, une version de la sentinelle en reggae vraiment prenante. Oui car Luke est avant tout un groupe de scène, certains auront beau critiqué le lyrisme du chanteur Thomas Boulard, mélange de Bertrand Cantat et Johnny Rotten pour son côté trop poète/rebelle perdu, Luke défonce sur scène. Et surtout ce groupe à trouver son public, la preuve, le sold out annoncé depuis un mois reste certainement le meilleur argument pour montrer que Luke au fil des années et des critiques, a su se renouveler sur deux derniers albums, l'un rock vraiment sensas, et le deuxième, plus doux, moins agressifs pour une fois, apprécié de la critique. Nous réservant Dan Barnum et ses pédales ( le matériel hein, soyons d'accord ) sur scène, pour une première partie difficile et presque oublié malheureusement pour ce jeune guitariste qui donnait l'impression faire l'une de ses premières grandes scènes.
 
 
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            L'Olympic fut aussi le fruit d'un petit évènement local, le Printemps de L'Icam 2010 qui proposait alors un groupe Amateur, les Rhum For Pauline, puis les fanas des années 80 allié au pire son kitsch, Minitel Rose, et une DJ Missil, sorte d'ersatz du son électro. Rhum For Pauline entre sur scène avec un son presque pastichant les tablatures de l'ouverture du chef d'oeuvre Les 7 Samourais de Kurosawa. Et leur concert lui n'a pas suivi les pas de Kurosawa. Bien que l'empreinte funk du groupe s'y ressente au travers de la voix du chanteur au marcel Blanc, Rhum For Pauline enchaine les sons, sans grande nuances. Les sons s'enchaînent, et se ressembles. Malgré tout, les règles de la première partie sont tenues, et Rhum For Pauline livre un show plutôt dynamique sans l'ombre d'une fausse note. On regrettera juste un son parfois limite, et surtout, un manque certain de confort avec le public. Minitel Rose eux, sont l'inverses, leur album méga foireux et presque grotesque, bizarrement à révéler une plutôt bonne surprise sur scène, bien que le manque d'instruments se ressentent pour n'importe quel accro au solos de Hendrix, Minitel Rose livre un bon set, parfois surprenant connaissant l'album hyper décevant de ce combo. Aidé pour le coup d'une batterie bienvenue pour le beat. Et DJ Missill malheureusement aura tué la soirée, par un son hyper violent, presque coupable, mais la rêve party n'aura pas fait long feu. DJ Missill tuant presque tout sur son passage, son nom n'est vraiment pas du au hasard.

 
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           Revenons au Zénith, et ces formidables Pixies. Groupe Culte des années 90, les Pixies sont la matérialisation de l'expression Gainsbardesque "Je t'aime moi non plus". Oui, Kim Deal, et Franky Black, sa se bastonne, sa s'aime, sa se réconcilie pour le fric, mais sa s'engueule quand même. Bref, bien qu'il soit là avant tout pour l'argent ( pas de langue de bois chez les pixies ), on prend surtout un malin plaisir à revoir ce groupe sur scène après une seconde séparation. 4 Albums Cultes, 4 casi-chef d'oeuvre, et surtout ici, deux heures de Pixies qui pour une fois semblaient réellement prendre du plaisir sur scène. Sa se marre, sa bouge au zénith, et aussi, un Frank Black en bonne forme. Qui continue malgré tout de prendre du ventre. Une première partie Anglaise plutôt difficile dans cette vague de groupe post-Libertines parfois très fatiguant ( Crocodiles ) parfois excellent ( Bloc Party ). Mais tout le monde était là pour les lutins. Enchainant aussi bien des morceaux entrés dans la culture mélomanes mondiales comme Debaser, Bone Machine ou le Fincher-esque Where Is My Mind, que des sons plus discret des autres albums et totalement surprenant ( la pop de Morriconne sur l'incroyable Cecilia Ann ) ou exceptionnel ( comme le Is She Weird sur le très surf Bossanova ). Les Pixies restent aussi grâce à un très bon son, l'un de meilleurs souvenirs du Zénith depuis le show Muse en Décembre 2007. Une vague de bonheur de 7000 fans qui ont attendu longtemps ces deux heures mémorables pour l'un des plus grand groupes de l'histoire du rock. Le genre de concert à rétablir la paix entre Israel ou Palestine. Ou Léonidas et Xercès. 
 
 
 
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             Enfin pour finir sur les scènes Nantaise, Chinese Man nous offrait un formidable concert gratuit dans l'entre du château des ducs de Bretagnes qui fut fermé pour éviter le siège de son bon millier de fans venus grâce au promotteur Facebook pour l'occasion. Un concert mémorable pour un groupe vraiment talentueux. Là où les merdes de Guetta, Bloody Beetroots ou Crookers nous assiègent depuis des lustres, Chinese Man propose un son totalement novateur. Toujours entre le genre cinématographique, ses beats très proches du lancement du rap, et des influences culturelles et musicales des 4 coins du monde. Un son d'autant plus transcendant par le matériel apporté par la ville pour ce concert. Un son presque parfait pour ce lieu improbable. Certainement le deuxième meilleur souvenir de l'année. Quelque part entre Troubles Makers et l'icône Wax Taylor, Chinese Man mérite sa place dans le cercle très réservé de ces mixers adulés comme Grand Master Flash en autre.
 
 
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            Et puis Tagada Jones, un groupe quasiment inconnu dans mon répertoire ( peut être que c'est le Tagada qui me revenait à l'esprit, cette petite boule rouge pleine de graisse, dieu que c'est bon ). C'est ce groupe qui reste certainement le meilleur souvenir de concert de l'année, malgré une relation moyenne dans les coulisses du Rock à Doulon 2010, les Tagada Jones ont livré un concert totalement électrique. Presque surréaliste dans cette petite arène de Doulon où deux coudes ont faillu m'ouvrir l'arcade à plus d'une reprise. Après 7 litres de sueurs en moins, et une lèvre entre-ouverte, le groupe hyper engagé Breton s'est donné juste à fond. Pour un groupe de 20 d'âge, il n'y a rien de plus bandant que de voir ces 4 quadras se donner comme jamais pour 400 personnes. Beaucoup y verront un groupe plutôt débile par leurs paroles, il n'empêche que Tagada Jones flitrent  avec certains groupe Gaulois de la même époque, les Béruriers Noirs, les Thugs, toute cette branche maintenant morte qui fleurissaient de Fanzines, de petits labels tel que Black & Noir d'Eric Sourice, et qui est bien morte au jour d'aujourd'hui. Où l'on pensait vraiment que les 4 Majors n'avaient pas emprise sur tout ( quitte à jouer devant une personne tel les Thugs en 93 à Denver ). Peu sont parvenus à y survivre, et il faut croire que ce soir là, Tagada Jones avait encore du jus pour tous le monde. Un Show violent dans le bon sens du terme, et une claque totalement inespéré.
 
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           Enfin, cet été, la blague de l'année. Le concert Roxy Jam proposé par cette marque de Surf à Biarritz organisait l'évènement musical le plus ridicule de ces 15 dernières années. Micky Green, l'ex mannequin ( ou dieu sait quoi ) livrait un show tout bonnement mort. Aucune ambiaince, aucun public, presque une corvée pour la belle Micky qui nous as réservé un show totalement foireux. Des blagues pas drôles, et une musique presque suicidaire. Le public semblait lui aussi vouloir en finir que d'écoute la fin de son set. Conclu par une reprise abominable de The Cure ( Close To Me ). Mais c'est surtout la seconde partie qui a failli conclure le suicide collectif en France le plus important de ces 40 dernières années. Les Plastiscines, pseudos rockeuses en herbe, critiqué par Rock And Folk comme le groupe de rock à suivre depuis la mort des BB Brunes ( ex détenant de ce ridicule titre ). Les Plastiscines ont servis certainement le zénith de la crise musicale du moment ce soir là à Biarritz. Une prestation ridicule, un répertoire abominable, des paroles débiles, presque sadomaso ( "I'm a biatch, B I A T C H" ) Sans déconner, même les Pussycats Dolls ont écrit des textes lus fins, aussi pauvre soient-ils. Et c'est surtout le Non Rappel ( du jamais vu ) qui était le clou du spectacle. Les Plasticines sortent de scène huées, sifflées. Terrible, pourtant vrai. Rock And Folk peut aller se rhabiller sur ce coup là. Certainement le pire souvenir musical de ma vie, une aubaine que mon état de santé s'en soit tirer sans graves problèmes. ( Seule une étrange et inédite bile de mélomane ). Le Rock français aura certainement touché le fond ce soir là. Et comment s'en tirer ? Peut être en arrêtant de renier Luke, Eiffel, Tagada Jones, Les Thugs...
 
 
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          Puis, viennent en Mars les Black Keys, pour diverses raisons, les concerts se font rares à Nantes, et c'est surtout aussi que hier soir, l'on disait adieu pour la plupart à l'olympic. Berceau de groupes locaux tel que Elmer Food Beat, première visite de muse à Nantes, c'était à l'Olympic. Là aussi où certains ont reçu des leçons de formidables musiques du genre Eagles Of Death Metal/Queens of The Stone âge. On attendait donc beaucoup ( tel que Brieuc ) de ce -probable- dernier concert à l'Olympic. Pour le coup, il fallait un groupe de taille, pioche gagnante, les Black Keys étaient présent. Le groupe, qui s'est souvent dissipé par la presse derrière les Whites Stripes pour leur similitude ( Deux membres, un batteur, et un guitariste prophétique et chanteur ). Les Black Keys ne sont pas les Whites Stripes, les Black Keys restent les clés du blues. Le genre de groupe qui se renouvelle constamment ( dernier en date leur excellent album "Brothers", sombre disque Funk/Blues crade/Garage ) et qui à la fois ouvre de nouvelles horizons tout en gardant un son totalement commun à tout mélomane de Blues ou du Rock. Par une première partie encore plus minimaliste par le nombre ( un jeune local chantant, grattant et tapant de ses deux pieds sur un Duo Grosse Caisse/Charleston ) qui au final ouvre bien ce moment mémorable. Attention tout de même à sa renouveler pour lui, ses 30 minutes semblaient être un seul morceau à lui tout seul.

 
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           Les Black Keys arrivent sur scène sur une intro Hip Hop Old School ( ils ont fait des duos avec Nas je crois bien ), Patrick Carney, célèbre matraqueur de Cymbale, et le fantastique Dan Auerbach. L'entrée est d'une puissance destructrice ( 105 décibels ), un son de guitariste absolument sidérant, et surtout, un dynamisme scénique épileptique. Les Black Keys enchaînent sans négociations plusieurs titres à deux avant de se faire rejoindre par deux musiciens pour l'orgue et la basse sur leur dernière album. Sinister Kid, Black Mud, The Only One, rien n'est laissé au hasard et toujours ce plaisir émanant d'eux d'être sur scène.
 
 
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         Dan Auerbach puise dans ses influences diverses une voix à la voix funk et blues. L'hyper activité de Dan Auerbach plait, et la batterie de Patrick Carney, quoique trop facile semble naturelle à ce groupe qui prend un plaisir sur scène épatant. Là aussi où l'on reconnait les grands groupes, qui prennent, que se soit devant 600 Nantais, 60 000 New Yorkais, un plaisir immense à se produire. Après un rappel à 104 décibel par le public en furie, Les Black Keys partent alors en héros sur le célèbre "Your Touch" pour une immense claque auditive, et certainement un concert mémorable pour tous les gens présent dans la salle, sold out depuis déjà deux mois. 

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Bonne année à tous pour le coup.

            
 
 

Par el frero le Jeudi 2 juin 2011 à 20:39
radiohead (X2), muse (X2), dyonisos (3), kings of leon, iggy pop and the stoogies, the roots, bonobo, wax tailor (X3), naive new beatters (X2), hushpuppies, luke, sexy suhi (X2), beat torrent (X2), birdy nam nam, placebo, santana, kid koala, spank rock, caravan palace, massive attack (X2), asian dub foundation, foreign beggars, beardyman, ghinzu, queens of the stone age, editors, mgmt, tiersen, bloody beetroots, crookers, colour of fire, artic monkeys, mister scruff, keziah jones etc.. et saez lol oui ghetto, mais tu las oublié ossi cetait notre tout premier a nantes! Bon allez a toi cédric, mets nous la branlée!
Par http://www.lorymuratti.it le Samedi 19 septembre 2015 à 4:56
au pouvoir de l'époque (Général Blanco, ou l'apparition subtile de Franco), ce qui donne tant à ce film une âme aussi bi
Par http://www.livemylacoste.fr le Samedi 19 septembre 2015 à 4:56
au pouvoir de l'époque (Général Blanco, ou l'apparition subtile de Franco), ce qui donne tant à ce film une âme aussi bi
Par httpwww.lacentraledesvignerons.fr le Jeudi 12 novembre 2015 à 4:52
Bon allez a toi cédric, mets nous la branlée!
Par http://www.pitirim.fr le Samedi 14 novembre 2015 à 1:56
Bon allez a toi cédric, mets nous la branlée!
Par http://www.monserviceplus.fr le Lundi 16 novembre 2015 à 4:45
Dan Auerbach puise dans ses influences diverses une voix à la voix funk et blues. L'hyper activité de Dan Auerbach plait, et la batterie de Patrick Carney, quoique trop facile semble naturelle à ce groupe qui prend un plaisir sur scène épatant.
Par http://www.cavedubouffart.fr le Lundi 7 mars 2016 à 7:48
et c'est extrêmement mérité.
Par http://www.remynovation.fr le Vendredi 15 avril 2016 à 4:02
Et puis, son film ressemble au final à un immense clip vidéo, ne s'arrêtant décidement jamais.
Par http://www.bluejazz.fr le Mercredi 15 juin 2016 à 11:12
Revolver s'embarque alors dans un jeu mental totalement hallucinant.
Par http://www.top-vols.fr le Vendredi 24 juin 2016 à 4:52
vCoup de barre surtout.
Par http://www.plomberie-draguignan.fr le Jeudi 21 juillet 2016 à 9:40
Mais Boyle reste alors Méconnu du grand public. Ce n'est plus le cas depuis son Slum Dog Millionaire, son hommage au film Bollywoodien totalement affligeant, et même si sa virtuosité n'en prenait pas un coup, Slum Dog reste le résultat décevant d'un hommage trop appuyé.
Par http://www.batracien.fr le Jeudi 28 juillet 2016 à 10:47
siècle de la Schizophrénie.
Par goedkope voetbalshirts le Jeudi 18 août 2016 à 3:38
On n'arrête plus ces derniers temps avec les petits hommes vert.
Par Maillot NBA Pas Cher le Mercredi 28 septembre 2016 à 4:15
Cherchant presque à nous éblouir.
Par Louboutin Pas Cher le Jeudi 29 septembre 2016 à 3:55
onnus de la musique sauvage.
 

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